Je me souviens, il n'y a pas si longtemps, avoir croisé une fille en ville. Elle portait un manteau gris, une écharpe vert pomme, elle avait les cheveux bruns, courts, une raie sur la gauche et une montre en argent. Son visage était rond, mais tout ses traits étaient tirés. Son visage était déformé par les pleures. De la rage, elle voulait la crier mais en pleine ville, il ne valait mieux pas. [Je l'avais trouvé belle.] Elle pleurait de rage en marchant au milieu de la foule qui ne se retournait pas sur son passage, elle était si belle à mes yeux. Je ne me suis pas retourné pourtant, j'aurais voulut avoir le courage de la prendre par le bras, de la serrer contre moi et qu'elle lacère mon dos avec toute la peine qu'elle avait en elle.
Je voulais écrire un poème sur toi, qui aurait commencé par une phrase telle que : "Je n'écrirais rien sur notre amitié brisée", je voulais parler de ces sourires que j'ai piétinés comme je piétinais les pissenlits sur le gazon dans mon enfance. Je voulais me rappeler ces souvenirs accrocher à moi comme une toile d'araignée au coin d'une pièce, je voulais me laisser croire que l'on avait encore une chance, enfin... plus tard. Je voulais me dire que je n'ai rien à regretter, que mes souvenirs de toi resteront intacts. Mais tu sais... Pour l'instant, [je n'arrive plus à t'aimer]. Je ne vais pas me mettre à te détester comme tu me détestes mais en regardant les photos de toi accrochées encore à l'armoire de mes souvenirs je n'arriverai plus à me dire que tu as été mon reflet.
Mon poème devait se terminer d'une phrase simple comme notre amitié:
Non, je ne parlerais pas de toi.
[Elle était belle cette file qui pleurait.]
Autre(s) rêve(s) :
ai
...ce que tu as voulu faire pour elle...c'est ce que tu voudrais que l'on fasse pour toi...
...et moi j'aimerai tant etre celle qui puisse te serrer dans ses bras pour te bercer et te laisser deversé tes peine...mais je suis loin...je ne peux seulement t'écouter et attendre de te revoir...
...te revoir pour te prendre dans mes bras...et te laisser m'avouer ton mal tout bas...me le mumurant presque...comme si finalement tu te les avouer a toi même pour les exorciser...
...ne te laisse pas influencé par son image...ce n'est pas parce qu'il est devenu cet etre dur et sans coeur que tu dois en avoir mal...votre amitier doit te rester...tu dois garder au fond de toi vos souvenirs heureux et ne penser a rien d'autre...
...te dire juste...qu'il a été "lui"...que vous avez même été "nous"...parce que ce moment a exister et qu'il ne faut pas l'oublier...
...ta douleur restera encore un moment...mais une autre vie se profile...ne te laisse pas prendre a son jeu ignoble et resiste pour ne pas te perdre toi même...
...sinon pour l'ensemble du texte...je le trouve tres poetique...et le passage sur la jeune femme est vraiment attendrissant...