Combien d'hommes faut-il... ?
J'ai assisté à une drôle de scène tout à l'heure et pour une fois, la présence de mon père à la maison m'aura bien servit.
Tout juste tirée de mon lit, vers 12h, et cherchant le réconfort de mon jus d'orange "matinal", ma mère m'interpelle en me racontant ses déboirs automobiles. "La voiture est cassée" me lance-t-elle, "ah bon ?!" répond-je avec le plus d'étonnement que ma voix tout juste sortie du sommeil me permet, "et je me suis prise un PV" avec un peu plus d'étonnement je lance un vain "ah ? t'étais garé où ?" et ma mère en toute logique "là où il ne fallait pas"...
S'en suit des discussions entre mon paternel et ma mère que, ma foi, je n'étais pas assez éveillée pour suivre dans son integralité. Ma mère part un peu plus tard, à pied, laissant la voiture au bon soins de mon paternel.
C'est là que l'histoire se corse.
Mon paternel, pas très mechanicien, tente vainement de comprendre ce qui ne va pas dans ce char d'assauts rouge, comme l'appelle ma mère, le capot ouvert, le moteur allumé, il passe là quelque minute avant d'être rejoint par un de nos jeunes voisins qui a lui-même passé quelque heure à comprendre (mais je ne sais si ce fut vain ou pas) le moteur de la voiture de son père. Le jeune examine donc notre char d'assauts, mon père étant relegé à la fonction de "celui-qui-fait-rugir-le-moteur" et ils passent là encore quelque bonne longueure de minutes.
C'est là qu'ils sont rejoint pas un premier homme, voisin lui aussi mais d'une autre cage d'escalier, il n'a pas l'air très compétent en char, car il laisse tout le temps quasiment un mètre entre la bète et lui. Il discute donc avec mon père, qui délaisse sa fonction de "celui-qui-fait-rugir-le-moteur", qui de toute manière ne servait à rien.
Je laisse ces trois specimens là pour mettre au four des nems, mais oh suprise quand je reviens à la fenêtre, un quatrième individu de sexe masculin s'est joint au duo dont je parlais tantôt. Ils sont donc trois à discuter près de la voiture, ces trois messieurs ayant laissé le soin au jeune de s'occuper seul du char. Mais nous n'en doutons pas, ces trois messieurs devaient certainement parler moteur.
Resultat : Une pièce est à changer.
Alors je vous le demande : combien d'hommes faut-il autour d'une voiture pour qu'un seul suffise à trouve qu'il faut changer une pièce ?
Pi moi je suis brûlé en sortant mes nems du four T_TTout juste tirée de mon lit, vers 12h, et cherchant le réconfort de mon jus d'orange "matinal", ma mère m'interpelle en me racontant ses déboirs automobiles. "La voiture est cassée" me lance-t-elle, "ah bon ?!" répond-je avec le plus d'étonnement que ma voix tout juste sortie du sommeil me permet, "et je me suis prise un PV" avec un peu plus d'étonnement je lance un vain "ah ? t'étais garé où ?" et ma mère en toute logique "là où il ne fallait pas"...
S'en suit des discussions entre mon paternel et ma mère que, ma foi, je n'étais pas assez éveillée pour suivre dans son integralité. Ma mère part un peu plus tard, à pied, laissant la voiture au bon soins de mon paternel.
C'est là que l'histoire se corse.
Mon paternel, pas très mechanicien, tente vainement de comprendre ce qui ne va pas dans ce char d'assauts rouge, comme l'appelle ma mère, le capot ouvert, le moteur allumé, il passe là quelque minute avant d'être rejoint par un de nos jeunes voisins qui a lui-même passé quelque heure à comprendre (mais je ne sais si ce fut vain ou pas) le moteur de la voiture de son père. Le jeune examine donc notre char d'assauts, mon père étant relegé à la fonction de "celui-qui-fait-rugir-le-moteur" et ils passent là encore quelque bonne longueure de minutes.
C'est là qu'ils sont rejoint pas un premier homme, voisin lui aussi mais d'une autre cage d'escalier, il n'a pas l'air très compétent en char, car il laisse tout le temps quasiment un mètre entre la bète et lui. Il discute donc avec mon père, qui délaisse sa fonction de "celui-qui-fait-rugir-le-moteur", qui de toute manière ne servait à rien.
Je laisse ces trois specimens là pour mettre au four des nems, mais oh suprise quand je reviens à la fenêtre, un quatrième individu de sexe masculin s'est joint au duo dont je parlais tantôt. Ils sont donc trois à discuter près de la voiture, ces trois messieurs ayant laissé le soin au jeune de s'occuper seul du char. Mais nous n'en doutons pas, ces trois messieurs devaient certainement parler moteur.
Resultat : Une pièce est à changer.
Alors je vous le demande : combien d'hommes faut-il autour d'une voiture pour qu'un seul suffise à trouve qu'il faut changer une pièce ?
Et pour d'éventuels commentaires, les blabla pour les Jouebeux et les brouillons (: Child Prey : en haut) pour les non Jouebeux
Parole de Poète Disparu
Conté par CircusDoll, le Vendredi 29 Décembre 2006, 15:51 pour ..:: Euphories passagères ::..